Je hais le vendredi.
Celui-ci, il est là, juste derrière.
Il doit penser à moi, parfois.
Et moi, je me suis laissée allée, en apnée, je suis descendue. Dans nos souvenirs, dans nos chats.
Sais-tu combien tu me manques ?
Je pensais que c’était plié cette affaire.
Mais non.
J’aimerais t’envoyer cela, mes larmes et ma douleurs, parce qu’elle font partie de mon amour pour toi, mais je n’ai pas à le faire, je n’ai pas à imposer mes mots. Déjà, jouer avec mes statuts, c’est tricher.
Je me sens de nouveau en dessous de tout. D’avoir réveillé sciemment la douleur. peut être pour ne pas pouvoir profiter sereinement de mon week end (ou espérons, au contraire, que je pourrais en profiter d’avoir expurger cette peine là ? )
Tout ça pour retrouver le moment où je lui parle de Thomas
。◕‿◕。
ça va le faire.