(Tiens, je suis sûre que cette entrée là fera un ter, j'ai déjà du choisir un titre comme ça)
(parce que j'adore ça, tomber amoureuse.)
Que là, ça me manquait, un peu, pas mal.
Que je me plaignait un peu la bouche pleine.
Alors Ä a fait ça en grand.
Comme si la totalité de ma vie avait convergé à ce 11 novembre 2017, et cette rencontre, à la fois improbable et cohérente vu nos réseaux respectif, à cet échange, d'abord intellectuel sans prémédiation, puis réconfortant, pour ouvrir les portes du plaisir, respectif, partagée, et l'ancrage dans le temps futur.
crispation
Alors hier, je lui ai dit ça :
« Je suis en train de tomber amoureuse, et je ne compte pas freiner le processus »
Mais c'est de l'euphémisme à donf !
Parce que je suis déjà raide dingue attachée.
Tant qu'il y avait que samedi dernier, à la Décom, il y avait ce côté magique, surnaturel. J'acceptais assez bien l'illusion de la fusion, créé par le cocktail de drogues endogène + exogène qu'il y avait dans mon sang.
Mais hier, c'était la même ou presque.
Sans Londres, sans le manque de sommeil, sans la MD, sans la musique.
La même connexion de malade qui intrique corps et
C'est une émanation d'Aphraël.
ça peut pas être autre chose.
Ce qui se verbalise le plus en moi là est son positionnement militant, auquel j'adhère étroitement.
Mais c'est presque le moins extraordinaire.
(vu le milieu où s'est fait notre rencontre)
Ses ronronnements vibrent en moi jusqu'à des couches profondes que j'avais pas imaginé mettre un jour en vibration avec un autre que moi...