Prendre du temps pour soi.
Savourer quand Aimé me demande si je vais bien.
Oui, je vais bien.
Sauf que j'ai repris à 100 à l'heure.
Que la liste des TODO se rallonge.
(Même si j'ai tenu ma promesse d'appeler Mafalda ce week end. Mieux vaut tard que jamais)
Que le poids des responsabilités et des choses à faire se refait à nouveau sentir.
Être responsable de ses proches ? du mal qu'on peut leur faire ?
Si tout était aussi simple qu'une relation nouvelle. Ou mieux, qu'une relation non initiée. c'est celle-là les plus faciles. On en attend rien. On les sait juste là, en suspend.
Je change de journal, j'ai pas envie de saturer les lecteurs de l'autre, mais c'est la même réflexion, la suite. Cette histoire d'Amour et de sexualité.
Audren dit que la sexualité est comme de l'huile dans un moteur, que ça permet de mieux supporter toutes les petites imperfections. Et même si je suis d'accord avec lui sur le décalage entre l'importance et le déni de la sexualité*, je suis allée plus loin.
Il y a d'abord cette dégradation de l'acte sexuel, son cantonnement à la sphère strictement privée. Si tu n'as pas de chez toi, pas de sexualité possible. Ou alors