Ça ne rendra pas le lino plus confortable
J’avais couru à m’en rendre malade, on avait hésité 4 fois, monté dans le train d’après qui n’était pas plus le bon.
Mais on était là,
à diffuser (imposer ?) nos rires, notre bonne humeur à tout le wagon
Qu’on est venu nous en féliciter, qu’on ne soit pas à râler.
c’est devenu une phrase culte, un de ces phares qui me restera longtemps.
Non seulement il est maintenant
Mais il est, intrasequement, en adéquation avec le réel, avec ce qui est, avec ce qui ne dépend pas de lui. Évidence de ne pas perdre d’énergie à changer ce qui ne peut pas l’être.
Il en est de même pour les descentes, d’ailleurs, qui ne sont jamais vécues comme une perte, sans Fomo, la reprise de conscience progressive fait partie du voyage.
Un « faire avec et pas malgré » d’une force imprésionnante
Et impressionnée que j’y adhère avec autant de facilité.
oui, j’ai travaillé mon adaptabilité, et j’en suis assez fière.
Ça ne rendra pas le lino plus confortable