Une relation qui m’apporte tellement que je me sens devenir progressivement mono.
Monogamie de fait.
(tout sauf de principe !!)
lesfessesdelacremiere.wordpress.com/2015/04/01/monogamie-de-fait-contre-monogamie-de-principe/
« on est tellement impatient-e de continuer à découvrir l’autre qu’on n’a pas envie de rater la moindre occasion de se voir, et les autres rencontres passent naturellement à la trappe »
« tu étais heureuse le 20 avant, pourtant.
– Non, j’ai changé d’état le 11, et c’était déjà de ton fait »
En quelques heures, une relation que je projetais sur des jours (potentielles semaines)
En quelques jours de fréquentation, projeter sur des mois.
Et là, tranquillement, avec effarement de part et d’autre que cela ne nous effraye pas plus que ça, pas plus lui que moi, projeter sur le très long terme…
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Semaine chargée pour moi. Quelque chose de prévu tous les soirs.
Il me glisse que c’était plutôt son régime, à lui aussi, avant.
« Tiens, je te croyais plus casanier. A moins que tu n’aies fait de la place dans ton emploi du temps pour moi
– très clairement, oui »
Couple fusionnel.
Non exclusif.
D’une liberté sans pareille.
Rencontre de ses amis à la PdC :
« vous vous êtes rencontrés ici ?
– non, pas chez elle (les cordes) mais chez moi (burn) »
En quelques heures, l’envie qu’il soit mon modèle.
Réaliser, hier encore, combien il est facile de le mettre dans mes cordes, combien j’aime ça. Peut être autant qu’il aime ça....
Rencontre de nos univers compatibles, tous domaines confondus.
Arrêter de cherche Où est le soucis, parce qu’on en a pas trouvé (et que nombres d’éléments sont passés du tacite à l’explicité verbalement)
Acceptation que je ne suis pas ordinaire.
Que je dégage une certaine sérénité, quand je tiens le comptoir, quand je déblatère mes références, mes réponses à leurs questions. Mon assurance en la matière.
Oui, je suis chez moi.
J’ai même les clés !
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Liberté inconditionnelle.
Que l’on choisi, là, en ce moment, et pour quelques semaines encore (et plus si affinité), de consacrer essentiellement l’un à l’autre.
Tout en étant parfaitement sereine sur le probable changement d’état qui peut nous arriver.
Je ne me souviens pas avoir déjà vécu un sentiment amoureux aussi fort.