Les amours de Cendre

J'en reviens pas

mercredi 27 août 2014 à 12h00

De ce qui s’est passé hier soir…

Il me reste quelques phrases

– Je crois que je connais celui qui est dans ce corps là

– Ta partenaire est fabuleuse » (je ne me souviens plus du terme, mais c’était emphatique)
– N’est-ce pas ?

– Tu as marché sur mon Zentai !
– Je vais retirer mes chaussures, ce sont des choses qui se font

– Bon alors, t’as fait quoi comme danse
– Danse classique, 15 ans, de 5 à 20 ans

– Je suis impressionnée par ta musculature
– J’ai l’habitude de porter plus lourd que toi

Les phrases sont rares, bien sûr, vu que le dialogue était tout autre.
Dialogue des corps.
Pour une première, je suis impressionnée.
Et tout le monde, après, qui se souvient de nous, qui parle de mon abandon, de mon jeu, Méta qui nous cite en exemple

On est des artistes, on fait sortir ce qu’il y a en nous, regarde, comme Tsampa et Cendre, tout à l’heure

Couleur cendre était son Zentai.

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Je ne sais toujours pas ce que j’attends de lui, ce qu’il attend de moi, mais juste, pouvoir faire ça, qu’il me présente la dulcinée qui l’accompagne, qu’il soit confus de bonheur de s’asseoir dans le métro entre nous deux.
Que pourrais-je vouloir de plus ?

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J’ai mal partout, je boite même. J’ai tourné à l’adrénaline, qui s’est évaporée en sortant qui m’a fait désirer le sol plus que tout autre chose. Alors il m’a déplacée (j’étais dans le passage) et s’est assis à coté de moi, tendre et tactile à son habitude. C’est là que j’ai repris mon souffle et mes esprits.
Que pourrais-je souhaiter de mieux ?

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