Bon,
Je suis en descente,
en manque de sérotonine,
Et c’est dur,
j’ai perdu ma bonne humeur permanente que j’avais depuis… depuis longtemps déjà.
(et oui, je peux être fière de ça en soi)
On a listé une fois les techniques pour être bien, et diffuser de l’amour,
J’aurais du les noter.
mais j’avais oublié que c’était pas ça le principal obstacle.
C’est que quand je suis en émotions négatives, je ne souhaite pas en sortir. Je ne veux pas appliquer les techniques. Je veux rester là où je suis.
Je veux identifier ce qui me touche, ce qui me fait mal (ce qui, par effet d’attention, m’emmène un peu plus profond)
En particulier,
Amoureux-deuxième s’est pris une troisième claque.
Gérable, bien sûr (moins importante que les deux d’avant), mais bien pénible, et qui me touche particulièrement car j’en ai marre de voir les gens autour de moi se faire prendre par ça, que j’ai envie d’y faire qqch depuis quelques mois, et que j’ai pas encore réussi à découper l’ambition en petites tâches pour commencer.
Mais je vais en parler avec Ester
trouver le courage d’en parler à Rsb
J’ai commencé un doc,
Quand on ne sait pas par où commencer, commencer n’importe où
Je suis là pour lui, dans les ressources que je lui envoie (qu’il trouve intéressantes), dans ma proposition d’écoute active.
J’ai les accusés de lectures sans réactions.
Je suis en manque de données brutes
Et j’ai mal.
je me deteste, je suis malheureuse, je suis pas bien,
je raconte que c’est lié à Jérusalem, c’est une excuse qui marche, politiquement correcte.
mais je vrille parce que j’ai pas d’info. parce que je sais pas. parce qu’il ne m’en parle pas.
J’ai mal.
et pas qu’un peu.
discuter avec autrui soulage un peu. et j’ai envoyé mes réfexions à l’intéressé. Pas de réaction. Il va pas bien. Mais mon bavardage ne l’a jamais dérangé, il me le dirait sinon, donc je peux continuer. (et je serais effondrée s’il me disait que c’est trop et pas intéressant etc T_T )
oh ! ! stop ! ! t’envoie un lien a propos de « après » suite à un miss clic, et il te dit que c’est très intéressant.
Alors tu le crois. Oui, c’est de l’impératif : tu, le, crois
Il te dit que c’est intéressant, alors ça l’est.
Oh
Ma chérie,
Ne pleure pas, ne pleure pas. Je t’aime. Et Pims t’aime, et P&L t’aime, et maForêt t’aime, et ton Dandy aussi, et ton lapin aussi.
Là, là, ma chérie.
Tu fais tellement de choses de bien, je t’assure, ça va aller, ça va aller, calme toi,
Tu as fait ce que tu pouvais, le reste ne t’appartient pas. Tu as fait plus que beaucoup n’aurait fait beaucoup.
Je t’aime.
pour tout ca et aussi parce que tu es, toi, nous 5, réunies,
Je t’aime.
Bon,
prendre 20 minutes au soleil pour calmer tout ça
repasser en boucle les 10 bonheurs échangés vendredi dernier (10 ! étoile, aromantique, comète-3, pailleté, percu, pirate, premier, deuxième, cy et acidTerapy)
repasser les nombreuses belles expériences de la semaine dernière à Lyon
repasser les plaisirs de nowhere, en retrouver des qui ont pourtant des ancres fines.
penser à demain, au plaisir de retrouver maon soutien indefectible et source d’amour infinie.
penser à demain, où j’anticipe la promesse d’une future relation DS
penser à Io, ce débrief important, qui va s’en venir prochainement
Admirer ma lucidité, celle du 23 août par exemple, du lien que j’ai vu à Opal, faire confiance en ▲Ne
Admirer mes visions globales, grand format
voir plus grand, à travers l’espace, et à travers le temps.
ça va aller,
ça va déjà mieux.
Je t’aime.