Les amours de Cendre

J’ai clairement changé d’attitude, mais en fait, s’il y a eu multiples liens de créés, aucune nouvelles relations :

Zaza, dans le temple d’Isabelle, c’était dit comme ça de base (je ne sais même plus les mots qu’il a voulu me donner pour chasser le syndrome de l’imposteur, comme quoi, il faut que je parte avant que la coupe soit pleine, ça c’est joué vraiment à peu)

atelier connexion. Bon, j’avais pas vu, il est bien plus homo qu’autre chose (pourtant, ça a été demandé en début d’orgie, j’ai pas du écouter). Et ben quand même. fantastiques interactions. Et puis, le voir choper, là, juste au dessus de moi, ben, je pense m’en souvenir longtemps.

Opalien. On avait pas de matos le premier soir (erreur fatale ! ! ) et la vibe était moins porteuse ensuite. Mais l’explicite, c’est très agréable tout de même.

La tribue. une qui n’est pas là, l’autre que j’ai pas vu tellement de shift, le troisième que j’ai perdu le soir de color et qui a préféré un coucher de soleil à du raisin, et puis le quatrième. Explicite aussi (faut dire que Madelaine aide bien), et pareil, c’est bien plus posé maintenant (j’avais espéré que le 3e étage contienne la sensualité des baisers, mais apparemment pas, pas encore peut être ? ) La relation ne change pas non plus, du coup.

Mon lapin moine. Aucune raison que notre relations change, ça fait 5 ans qu’on se voit de burn en burn, et un peu à son bar, c’est pas un peu d’intensité supplémentaire qui changera.

mon conducteur. son regard vendredi soir, ses mots lundi sur la route du retour. Punaise ! si tu voulais m’emmener, pourquoi ? alors qu’on se voyais quand même souvent, non ? bah, comment écrire la chaleur, mon sourire, aux souvenir des trois fins de soirées avec lui, le lien était magnifique, tel quel. Et au moins, il est fermé proprement, tant avec l’explicitation de l’attirance réciproque (dont j’ai plus ou moins douté en permanence), que du cadre futur (c’est toujours confortable de savoir où on va)

bon, et puis celui dont je tombe amoureuse 5 ans après mon crush, ça compte pas. La relation existait en amont.

Et hier soir, le déciversaire, c’est pas un burner, juste un crush de 10 ans d’âge, d’une fiabilité à toute épreuve, et dont j’avais oublié ses capacités exceptionnelle d’amant dans l’art d’écouter et de trouver ....

Bref,
Pas de changement de situation.
Juste le plaisir. Amplifié par la playa.

nowhere, utopie ici et maintenant, now here
Immediacy.