Je l’aime.
Je le sens bien. Je me sens bien.
J’ai confiance en lui, j’ai confiance en moi.
Je n’ai pas de manque, pas d’attentes, pas de frustration.
Juste un immense bien être.
L’impression de le côtoyer depuis des années.
Je peux tout lui dire, tout partager avec lui.
On sait où on est, on en profite. On sait où on aimerait aller, dans quelques directions. Mais on se fait pas (trop) d’illusions. On verra bien.
On est optimistes.
Une à une, les évidences sont dites, trouvent leur mots. Sans heurs. On s’en doutait mais cela va encore mieux en le disant.
Et chacune viennent renforcer l’intuition, viennent étayer la confiance. Qui continue de croître, tranquillement,
Bon, je dis pas que je serais pas contre quelques espaces temps supplémentaires, mais je regarde mes trois dernières semaines l’état qui caractérisait le plus chacune.
Pour cette dernière, c’est la sérénité. A croire que je réponds à l’injonction qui m’en a été donnée !
La première était l’insouciance : je prends ce qu’il y a sous mes mains, je ne fais rien de mal, l’amour n’est jamais volé à quelqu’un d’autre.
La deuxième était l’inquiétude, quand même, face à l’ampleur que prenait cette aventure, par les engagements qui se dessinaient, et l’ouverture des dimensions, des trois paris sur l’avenir.
La troisième, c’est la reconnaissance.
La vie est vraiment belle.