Peut être te trouverais-je un surnom pour ce blog. Comme d’autres.
(Extimité)
En attendant, ce titre sera facile à interpréter pour moi, quelque soit l’a date de la relecture de ces mots.
Merci.
Pas de me l’avoir prêté, le terme est terriblement impropre. Pas même du partage.
Ho non, c’est tellement au delà de ça, tellement plus simple.
Juste, « J’écris ton nom, liberté »
Votre mariage sous le signe de cette liberté, sans piège, aux conditions si intimement, humainement liée à la compatibilités de vos névroses.
Je suis dingue de ton homme. Depuis plus de quatre ans. Je pense que tu le sais pertinemment, je suis transparente pour tant de personnes, alors pour toi, concernant cet homme que tu as lié à ta vie.
Tu sais mon amour et tu lui as ouvert toutes les portes.
Avec générosité, tact, délicatesse, discrétion. Fidèle passeuse qui nous porte des nouvelles indirectes.
Jusqu’à ce que je grandisse, prenne en assurance et expérience (là aussi ! )
Jusqu’à hier soir où j’ai osé demander à poursuivre la soirée.
Où j’ai même pas eu à me poser la question, pour toi, parce que ta réponse était nécessairement solidaire de celle de ton homme. Que je pouvais vous faire confiance, à tous deux, pour me donner une réponse cohérente et fiable par sa bouche seule.
Ses réponses de baisers et de caresses.
J’en mesure pas les conséquences, encore.
Mais la plénitude (le monde, as d’épé) est bien là. Me savoir reconnue, appréciée, avec cette transparence qui a fait de lui, pour cette fois, le passeur de notre affection mutuelle.
Merci de lui laisser cette amplitude là. Dédiée au plaisir, mais à l’attachement également.