Les amours de Cendre

Encore un week end en sa compagnie.
Fusion.
Symbolique.
Engagement. (à très long terme le cas échéant)
Symbiose.

J’aime avant tout son intelligence et ça a tout l’air d’être réciproque.
J’ai même pas trop honte de me dire que ça semble pas complètement injustifié…

Alors ce matin, faire le point.
Ai-je besoin de décanter ?

Je l’énonce à voix haute, parce que réfléchir tout haut en sa compagnie se révèle tellement bénéfique.
J’adore sa réponse. Une question :
Est-ce une histoire de présence ou de lieu (ou des deux) ?

Et ainsi, des fois que la combinaison lieu + présence soit trop intense, proposer de dissocier. Donc énoncer ce qui aurais du m’être une évidence mais que je ne voyais pas : la possibilité qu’il vienne chez moi. Juste, comme toujours, prendre soin de moi également. Alors même que ce n’est pas sa préférence.....

Magiquement, cette proposition (qui n’est pas incitation pour autant ( ^. ^ ' ) J’adore sa précision de vocabulaire !! fait envoler la pression.
Cela confirme ma sensation de jeudi dernier : je ne suis pas en train de me noyer dans cette relation, c’est juste un bonheur pur d’y descendre en apnée. D’autant plus que les bulles d’extérieur sont présentes un peu partout, plus nombreuses encore que je le pensais, et je suis très loin de l’asphyxie.
(au contraire, même, je me demande parfois si je ne tombe pas, par son entremise, sur des bulles d’oxygénations bien plus riche que de l’air ! ! )

Alors,
Envisager de ne pas chercher à remonter à la surface, ne plus en faire un objectif. Ne pas chercher à retrouver la transparence par décantation.
Continuer d’explorer ces profondeurs, en s’appuyant sur ces bulles.

Et, au contraire, chercher l’émulsion....